lundi 25 février 2019

Souvenir Yamaha 600XTE





Permis A obtenu en février 97.

A moi la liberté et les grands espaces en moto.

Ah ça pour l’intention je ne manquais pas d’ambition, mais les finances étaient toujours raplapla.

Alors que je commence à me renseigner sur ce que je pourrais acheter comme moto, je me rends bien vite compte que le prix de l’assurance pour un jeune permis va être rédhibitoire. Il fallait que je trouve une solution pour me déplacer à moto.

C’est alors que j’ai entamé une bonne collaboration avec la concession moto Yamaha de Coignères. Comme j’avais la 125SR, ils pouvaient me proposer une reprise si je prenais une moto neuve chez eux. Ploum ploum ploum, ou plutôt poum poum poum devrais-je dire, le choix se porta rapidement sur la 600XTE.

D’abord j’aimais bien son look de trail. Et puis j’avais gardé de bons souvenir de la Honda 600XL de mon pote Manu. En effet quelques années auparavant Manu avait déjà passé son permis moto et il empruntait régulièrement la 600 paternel. Et nous avons fait quelques balades tous les deux.

Un gros mono 600 à carburateur c’était tout de même bien sympa à mener.



Les premiers souvenirs que j’ai avec cette 600XTE se situent dans les routes de la forêt de Rambouillet. J’étais parti en solo pour me faire la main avec cette moto et pour la roder également. Dans mes souvenirs il faisait beau avec une température douce. Venant de la 125 SR j’étais favorablement impressionné par la pêche de ce 600 que je n’osais pourtant pas solliciter. Et puis ces grandes suspensions, quel confort. C’était un régal bien que je n’appréciais pas trop la plongée au freinage. Mais tout cela commence à remonter à bien longtemps.



L’autre souvenir est moins plaisant. Car habitant Rambouillet j’ai pris un job à Rueil Malmaison et tous les jours je faisais plus de 90km via la N10 et l’A12. Et la grande sauterelle avec son gros mono à rapidement montré ces limites. Le gros mono si sympa et débonnaire dans les routes de forêt se retrouvait à la peine sur les grands axes. Et surtout la géométrie de la moto avec son grand guidon et ses suspensions souples entrainait des louvoiements effrayants passé les 110km/h.



Voyant les kilomètres s’empiler à grand vitesse sur le compteur de la moto et face au manque de confort et de sécurité, je décidais rapidement de faire reprendre la moto par la concession pour passer sur une diversion 600 qui fera l’objet d’un prochain article.

Dommage tout comme la 125SR j'ai possédé cette Yamaha à une époque argentique ou justement je manquais d'argent pour me payer des photos. Je n'ai pas d'images dans mes archives de cette moto.

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