Trop trop difficile de quitter le Pacifique cc matin. En ces temps de pandémie et de guerre, il n'est pas du jour évident que nous puissions le revoir un jour.
Gardons l'espoir qu'on trouve des solutions qui le permettent à l'avenir.
C'est donc mélancolique que nous cheminons via Irvine vers le nord de LA.
Impressionnés que nous somme petits frenchies par les infrastructures autoroutières de dingues. Du 2×6 ou du 2×8 voies dont parfois celles de gauche sont payantes.
Impressionnés que nous sommes par les dizaines et dizaines de km dexzone commerçantes
Impressionnés que nous sommes par la ville qui continue de se déployer le long de l'autoroute. On voit le chantier énorme d'aménagement de tout un quartier sur plusieurs km.
Mais tout à coup la "LONE PINE ROAD" attire mon regard un coul de cligno et on s'y engouffre. Je me demande si je vais y voir la fameuse De Lorean garée dans un fourré. Mais non c'est une longue vallée inhabitée si ce n'est par des milliers d'espèce d'agapanthe en fleur qui embaument ce paysage plutôt aride. Au col on bascukr sans transition dans wirewood de mémoire un espèce de station de montagne avec des chalets genre réside secondaire.
Au loin là en bas se profile le désert de Mojave, mais moi attiré par les Joshua trees je pique dans une petite vallée aride et perdue pour le moment. Quel contraste avec le village de trappeurs plus haut ici ce sont des maisons isolées du cabanon au petit château qui occupe le terrain. Toutes les routes ne sont pas encore revêtues et il reste di terrain à acheter. OK pour les joshua tree mais c'est quand même un peu aride à mon goût.
On poursuit la descente vers le plateau qui nous mènera via des pistes où des routes pourries à El Mirage. L'ancien lac de Los Angeles que la ville a finit de vider en 1967. Après un incroyable scandale où des promoteurs avaient créé des lotissements en faisant miroiter un avenir radieux au bord d'un lac qui était en train de s'évaporer. Beaucoup de gens ont acheté des terrains mais personne n'a rien construit ou presque.
On avance alors vers la fameuse base Edwards où le mur du son à été passé pour la première fois et où de navettes ce sont posées.
Il nous reste alors une mornecroute vers Bakersfield. Dans la voiture alors que la miss nous lit les informations sur la ville je répère un dernier chemin de traverse qui nous mène à travers de grands pâturages puis des orangers vers notre étape du jour.
Il faut en passer par le carwash pour rendre le Titan présentable.
Puis nous comprenons en roulant sur panorama drive comment le dieu pétrole s'est emparé de cette ville.
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